134 research outputs found

    Stereotactic body radiation therapy for abdominal oligometastases: a biological and clinical review

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    Advances in imaging and biological targeting have led to the development of stereotactic body radiation therapy (SBRT) as an alternative treatment of extracranial oligometastases. New radiobiological concepts, such as ceramide-induced endothelial apoptosis after hypofractionated high-dose SBRT, and the identification of patients with oligometastatic disease by microRNA expression may yet lead to further developments. Key factors in SBRT are delivery of a high dose per fraction, proper patient positioning, target localisation, and management of breathing–related motion. Our review addresses the radiation doses and schedules used to treat liver, abdominal lymph node (LN) and adrenal gland oligometastases and treatment outcomes. Reported local control (LC) rates for liver and abdominal LN oligometastases are high (median 2-year actuarial LC: 61 -100% for liver oligometastases; 4-year actuarial LC: 68% in a study of abdominal LN oligometastases). Early toxicity is low-to-moderate; late adverse effects are rare. SBRT of adrenal gland oligometastases shows promising results in the case of isolated lesions. In conclusion, properly conducted SBRT procedures are a safe and effective treatment option for abdominal oligometastases

    Meta-analysis of predictive models to assess the clinical validity and utility for patient-centered medical decision making: application to the CAncer of the Prostate Risk Assessment (CAPRA)

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    Background: The Cancer of the Prostate Risk Assessment (CAPRA) score was designed and validated several times to predict the biochemical recurrence-free survival after a radical prostatectomy. Our objectives were, first, to study the clinical validity of the CAPRA score, and, second, to assess its clinical utility for stratified medicine from an original patient-centered approach. Methods: We proposed a meta-analysis based on a literature search using MEDLINE. Observed and predicted biochemical-recurrence-free survivals were compared to assess the calibration of the CAPRA score. Discriminative capacities were evaluated by estimating the summary time-dependent ROC curve. The clinical utility of the CAPRA score was evaluated according to the following stratified decisions: active monitoring for low-risk patients, prostatectomy for intermediate-risk patients, or radio-hormonal therapy for high risk patients. For this purpose, we assessed CAPRA’s clinical utility in terms of its ability to maximize time-dependent utility functions (i.e. Quality-Adjusted Life-Years – QALYs). Results: We identified 683 manuscripts and finally retained 9 studies. We reported good discriminative capacities with an area under the SROCt curve at 0.73 [95%CI from 0.67 to 0.79], while graphical calibration seemed acceptable. Nevertheless, we also described that the CAPRA score was unable to discriminate between the three medical alternatives, i.e. it did not allow an increase in the number of life years in perfect health (QALYs) of patients with prostate cancer. Conclusions: We confirmed the prognostic capacities of the CAPRA score. In contrast, we were not able to demonstrate its clinical usefulness for stratified medicine from a patient-centered perspective. Our results also highlighted the confusion between clinical validity and utility. This distinction should be better considered in order to develop predictive tools useful in practice

    Recommendations for radiation therapy in oligometastatic prostate cancer:An ESTRO-ACROP Delphi consensus

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    Background and purpose: Oligometastatic prostate cancer is a new and emerging treatment field with only few prospective randomized studies published so far. Despite the lack of strong level I evidence, metastasis-directed therapies (MDT) are widely used in clinical practice, mainly based on retrospective and small phase 2 studies and with a large difference across centers. Pending results of ongoing prospec-tive randomized trials, there is a clear need for more consistent treatment indications and radiotherapy practices.Material and methods: A European Society for Radiotherapy and Oncology (ESTRO) Guidelines Committee consisting of radiation oncologists' experts in prostate cancer was asked to answer a dedicated question-naire, including 41 questions on the main controversial issues with regard to oligometastatic prostate cancer.Results: The panel achieved consensus on patient selection and routine use of prostate-specific mem-brane antigen positron emission tomography (PSMA PET) imaging as preferred staging and restaging imaging. MDT strategies are recommended in the de novo oligometastatic, oligorecurrent and oligopro-gressive disease setting for nodal, bone and visceral metastases. Radiation therapy doses, volumes and techniques were discussed and commented.Conclusion: These recommendations have the purpose of providing standardization and consensus to optimize the radiotherapy treatment of oligometastatic prostate cancer until mature results of random-ized trials are available.AT would like to acknowledge the support of Cancer Research UK (C33589/A28284 and C7224/A28724) . This project represents independent research supported by the National Institute for Health research (NIHR) Biomedical Research Centre at The Royal Marsden NHS Foundation Trust and the Institute of Cancer Research, London. The views expressed are those of the authors and not necessarily those of the NIHR or the Department of Health and Social Care

    Radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité du cancer de la prostate (analyse dosimétrique et suivi prospectif de toxicité et de qualité de vie)

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    La radiothérapie conformationnelle avec modulation d'intensité (RCMI) de prostate facilite l'escalade de dose dont le bénéfice sur la survie sans rechute est démontré. Elle suppose une validation des contraintes dosimétriques dans chaque centre pour prévenir les effets secondaires. Son retentissement sur la qualité de vie des patients reste à préciser. Dans l'optique de valider la technique de RCMI au Centre René Gauducheau, nous avons suivi de façon prospective pendant 18 mois 55 patients porteurs d'un adénocarcinome prostatique localisé traités par RCMI à 76 Gy de février à décembre 2006. La toxicité était évaluée selon l échelle CTCAE v3.0 : respectivement 38% et 13% des patients présentaient une toxicité urinaire et digestive aiguë de grade 2, 2% et 0% de grade 3 ; à 18 mois, respectivement 15% et 11% des patients présentaient une toxicité urinaire et digestive de grade 2, aucune toxicité de grade 3 n était décrite. La qualité de vie était évaluée par les questionnaires de l EORTC général (QLQ-C30) et spécifique à la prostate (QLQ-PR25) remplis par le patient avant puis 2, 6 et 18 mois après la RCMI : à 18 mois, les patients retrouvaient leur qualité de vie initiale. La RCMI permet donc de délivrer une dose élevée à la prostate tout en limitant la toxicité et en préservant la qualité de vie des patients. Ces résultats valident les contraintes dosimétriques de notre centre, sous réserve d un suivi prolongé de nos patients. Le respect de ces contraintes dosimétriques conditionne directement la préservation de la qualité de vie des patients en terme de symptômes urinaires et digestifs. L'association d'une hormonothérapie à la RCMI doit tenir compte de ses conséquences sur la qualité de vie.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Analyse rétrospective d'une série de 102 patients présentant un adénocarcinome rectal localement avancé traités par radiothérapie préopératoire puis chirurgie

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    Entre 1991 et 1998, 102 patients ont été traités au Centre René Gauducheau et au C.H.U de Nantes par radiothérapie préopératoire puis chirurgie potentiellement curatrice pour un adénocarcinome du rectum localement évolué. Après un suivi médian de 48 mois, le taux de contrôle local était de 83,9% à 5 ans, la survie sans métastase de 64 % à 5 ans, et la survie globale de 60,8% à 5 ans. Les facteurs habituels influençant la survie ont été retrouvés (pT, pN, tumeurs du bas rectum). Les patients opérés au-delà d'un délai de 16 semaines après le diagnostic ont présenté une survie sans métastase et une survie globale moindre. Une chirurgie retardée est susceptible de réduire la survie globale des patients traités par radiothérapie préopératoire pour un cancer du rectum localement avancé.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Caractéristiques des cancers du sein survenant à un âge jeune, secondaires à une radiothérapie réalisée avant l'âge de 30 ans (étude rétrospective multicentrique dans le but de proposer un dépistage national précoce des femmes à haut risque)

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    But : L'irradiation du sein ou de l'aire axillaire au-delà de 3 Gy avant l'âge de 30 ans entraîne un risque majoré de développer un cancer du sein. Nous avons comparé, à fin de voir si les caractéristiques cliniques et anatomopathologiques différaient, les cancers du sein survenant chez ces femmes par rapport à d'autres groupes contrôles. Patients et Méthodes : Une étude rétrospective sur 11 centres français sur les données médicales de femmes suivies pour un cancer du sein qui ont eu une irradiation > 3 Gy sur au moins une partie du sein ou de l'aire axillaire avant l'âge de 30 ans pout tout cancer sauf un cancer du sein a été conduite. Résultats : Un total de 119 cancers chez 102 femmes ont été identifiés. Ces seconds cancers étaient plus fréquemment bilatéraux, de même que chez les femmes ayant une mutation germinale de BRCA1 ou 2, et présentait des marqueurs d'agressivité similaire au groupe BRCA2, avec 29,4% de tumeurs triple négatives, mais avec un taux plus important d'expression des récepteurs hormonaux. Seulement 12% des femmes avaient eu un dépistage dont uniquement clinique pour 22%. Les traitements différaient significativement avec moins de radiothérapie et plus de mastectomies. Conclusion : Ces résultats montrent que les cancers du sein secondaires après radiothérapie sont probablement agressifs. Des études futures devraient être menées pour déterminer le meilleur programme de dépistage et définir les indications dépendant du risque propre à chaque femme et déterminer la meilleure prise en charge de ces seconds cancers du sein.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Radioimmunothérapie alpha du myélome multiple

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    La radioimmunothérapie alpha permet de vectoriser un radioélément émetteur de particules alpha au contact de cellules tumorales. Nous avons appliqué cette thérapeutique pour le traitement du myélome multiple, dans le but de déterminer les modalités les plus adaptées à un passage vers des études cliniques ultérieures. La première étape a permis de déterminer l'anticorps et le radioélément le mieux adapté pour la radioimmunothérapie et de mieux comprendre les mécanismes de la mort cellulaire radioinduite par l'irradiation alpha. Nous avons mis en évidence des diffe rences de sensibilité des lignées de myélome multiple, ce qui nous a amené dans une deuxième étape à rechercher une majoration de l'efficacité de la radioimmunothérapie alpha par la combinaison de chimiothérapies anti-mitotiques. Nous avons observé un effet supra-additif entre la RIT alpha et le paclitaxel ou la doxorubicine. Enfin, dans une troisième étape, nous avons analysé l'implication de la voie de K-ras afin de comprendre les mécanismes de transduction du signal impliqués dans la réponse à la radioimmunothérapie alpha.Alpha-radioimmunotherapy can vectorize an alpha particle emitter to target cancer cells. We developed this technique for the treatment of multiple myeloma, with the goal of determining the best suited modalities for later clinical studies. A first step determined the antibody and the radionuclide best suited for radioimmunotherapy and to better understand the mechanisms of alpha-radioimmunotherapy induced cell death. We observed some difference in the radiosensitivity of cell lines and decided in a second step to increase the efficacy of alpha-radioimmunotherapy by combining chemotherapeutic drugs. We found a synergistic effect between alpha-RIT and paclitaxel or doxorubicin. In a third and last step, we analysed the K-ras pathway in order to understand signal transduction following alpha-radioimmunotherapy.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Delineation of the Prostate Bed: The “Invisible Target” Is Still an Issue?

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    For pathological high-risk prostate cancer, adjuvant irradiation has shown a survival benefit. Phase III studies have highlighted that half men would face biochemical relapse and would be candidate for radiotherapy at adjuvant or salvage times. Despite at least four published international contouring guidelines from different collaborative groups, discrepancies remain for volumes, delineation, and margins to be considered in order to optimize radiotherapy planning. This article from “Groupe d’Etude des Tumeurs UroGénitales (GETUG)” members will focus on controversies to help clinicians to create best volume delineation for adjuvant or salvage post prostatectomy radiotherapy
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